Toute ma vie durant j’ai eu de la visite.
Sur leur trente et un ils m’excitent.
Véritable body builder.
Des colosses, vraiment à leur affaire
J’en ai connu des mous, des durs, des tristes
Des magnifiques toujours bien mis, des culturistes.
Toujours gantés et chapeautés
Tirés à quatre épingles.
Des princes, les rois de la tringle
J’aimais leur compagnie, combien j’ai de regrets.
De moins les recevoir même en touristes.
Toujours parés de leurs milles attraits
Ils ont fait de moi un puriste altruiste.
Leur tête posée sur mon organe gonflé
J’entendais leur cœur se démener
Il battait la chamade.
Pour cette énième croisade.
Combien je me suis dépensé pour les satisfaire.
Ils sont si beaux et fiers quand ils affairent.
Une entrée au zénith l’entrée des artistes.
Sans aucun problème si on les bisse.
J’aimais suivant mon gré les rencontrer
Partager ces plaisirs démodés.
Aujourd’hui toujours aussi beaux
Certains hélas sont en lambeaux.
Mais entre eux toujours rivaux.
Pas de place pour les nabots.
Triste déconvenue de ne plus être leur élue.
Quelque vieil appendice se rebique.
Toujours aux charbons pour un clip.
Je me requinque de cette entrevue.
J’en aurais à raconter des vécus.
A tous j’ai survécu.
Entre ceux qui ne tiennent plus la distance
Ceux qui se croient en vacances.
Les autres qui ont la classe
Qui manquent d’audace.
Les B C, BG
Qui en sont persuadés.
Les uns montés sur turbo
Cà c’est du boulot.
Moi pauvre petite chose, petit clito
J’ai besoin de repos.
Cà swing dans les gorges du plaisir
Un petit coin de paradis
On joue à faire l’amour
Qu’il soit martyr où interdit.
Cela vaut un détour.
Partition où se monte la gamme
Que l’amour et que nos corps réclament.
Rencontre avec le sexe mâle.
Avec lequel je me dévoile.
Orgasme au féminin
Jouissance au masculin.
Une si petite chose
Pour un final grandiose.
Sur leur trente et un ils m’excitent.
Véritable body builder.
Des colosses, vraiment à leur affaire
J’en ai connu des mous, des durs, des tristes
Des magnifiques toujours bien mis, des culturistes.
Toujours gantés et chapeautés
Tirés à quatre épingles.
Des princes, les rois de la tringle
J’aimais leur compagnie, combien j’ai de regrets.
De moins les recevoir même en touristes.
Toujours parés de leurs milles attraits
Ils ont fait de moi un puriste altruiste.
Leur tête posée sur mon organe gonflé
J’entendais leur cœur se démener
Il battait la chamade.
Pour cette énième croisade.
Combien je me suis dépensé pour les satisfaire.
Ils sont si beaux et fiers quand ils affairent.
Une entrée au zénith l’entrée des artistes.
Sans aucun problème si on les bisse.
J’aimais suivant mon gré les rencontrer
Partager ces plaisirs démodés.
Aujourd’hui toujours aussi beaux
Certains hélas sont en lambeaux.
Mais entre eux toujours rivaux.
Pas de place pour les nabots.
Triste déconvenue de ne plus être leur élue.
Quelque vieil appendice se rebique.
Toujours aux charbons pour un clip.
Je me requinque de cette entrevue.
J’en aurais à raconter des vécus.
A tous j’ai survécu.
Entre ceux qui ne tiennent plus la distance
Ceux qui se croient en vacances.
Les autres qui ont la classe
Qui manquent d’audace.
Les B C, BG
Qui en sont persuadés.
Les uns montés sur turbo
Cà c’est du boulot.
Moi pauvre petite chose, petit clito
J’ai besoin de repos.
Cà swing dans les gorges du plaisir
Un petit coin de paradis
On joue à faire l’amour
Qu’il soit martyr où interdit.
Cela vaut un détour.
Partition où se monte la gamme
Que l’amour et que nos corps réclament.
Rencontre avec le sexe mâle.
Avec lequel je me dévoile.
Orgasme au féminin
Jouissance au masculin.
Une si petite chose
Pour un final grandiose.
